dimanche 13 décembre 2015

Chronique de 'The Revolution of Ivy'


Résumé :

Condamnée à l'exil pour ses crimes, Ivy se retrouve seule au-delà de la barrière qui protège les siens d'un monde hostile, dévasté par l'arme atomique des décennies plus tôt. Trahie par sa famille, abandonnée par Bishop, elle doit quitter Westfall et s'enfonce dans la nature sauvage et découvre qu'elle est habitée. Cette année, mon tour est venu. Mais la ville où elle est née se tord dans les convulsions d'un coup d'État, et le chaos ne tarde pas à régner. C'est un Bishop différent qui débarque dans le camp où Ivy s'est réfugiée, un Bishop qui a découvert, entre-temps, plus d'une vérité. Il est temps pour la jeune fille de décider ce qu'elle compte faire : se venger ou... faire la révolution ? Le deuxième et dernier tome de la série The Book of Ivy clôt une saga dystopique où survie en milieu hostile, complots meurtrier et manipulations politiques se mettent en travers du chemin d'un duo à l'alchimie saisissante. Découvrez l'aventure finale d'Ivy, assassin devenue survivante !

Mon Avis :

Tout comme le précédent tome, s'est bel et bien les personnages qui font le roman, car encore une foi aucune surprise quant au dénouement. Nous découvrons une nouvelle dynamique, ce qui innove le récit avec de nouveaux personnages et la reconstruction du tandem.
Le rythme est très saccadé, un peu brouillon pour reprendre le terme de notre Althea (lire sa chronique ici) et je trouve cela dommage. Mais cette suite reste à la hauteur du premier opus, qui encore su une fois me faire vibrer !
Le plus intéressant, c'est le lien entre les protagonistes qui est en perpétuel renouvellement,créant ainsi une tension et crainte sous-jacentes qui nous tiennent en alerte constante! Vous obligeant aisi de vouloir le lire d'une traite.
Rien de plus concernant l'idée général, restant campée ainsi sur mon avis du tome 1 (ici)

Ma Note : 5/5

1 commentaire:

  1. "Mais cette suite reste à la hauteur du premier opus" --> Je l'ai trouvé en dessous.
    Mais quand même génial.
    Parce que c'est Ivy, faut pas déconner.

    RépondreSupprimer